|
Dutch, the dog... 
Il est un "Berger Blanc Suisse" de 7 ans. Achetez votre robot domestique, et plus si affinité... Offres spéciales 2015
Le pastafarisme 
Bienvenue à vous qui êtes en Recherche de la Vérité. La Sainte Eglise du Monstre en Spaghetti Volant, communément appelée "Eglise Pastafarique" , a été fondée en 2005 par Bobby Henderson, diplômé en physique de l’Université d’État de l’Oregon, touché par l’Appendice Nouilleux du Maitre Nouillesque, Seul et Unique Créateur de Toutes Choses. La Révélation de la Vérité a alors frappé Bobby Henderson : si le Cré(a)ti(on)nisme pouvait être enseigné dans les écoles du Kansas au même titre que la Théorie de l’Evolution de Charles Darwin, pourquoi pas le Pastafarisme ? Toutes questions que vous pouvez vous poser sur l’Univers, sa Création, le Sens de la Vie et le Rôle Essentiel des Pâtes trouvent dans le Pastafarisme une Réponse au moins aussi Logique et Evidente que dans le Cré(a)ti(on)nisme. N’hésitez pas à visiter le site des Pastafariens de la Suisse Romande et à poser vos questions à notre Episcopat par l’entremise des commentaires. Nous y répondrons Si et Quand nous en aurons Envie, dans une tentative ultime de prouver la Puissance du Libre Arbitre. (12-04-2014) |
 
Homero Rómulo Cristalli Frasnelli alias "Juan Posadas" | L'internationale posadiste !
Une branche trotskiste : la quatrième internationale posadiste qui fut fondé à la suite d'une scission en 1962 par Juan Posadas (pseudo de : Homero Rómulo Cristalli Frasnelli) un argentin. Voici un culte inattendu des OVNIs se situant à l'extrémité opposée du spectre politique : une secte trotskiste interstellaire. C'est ainsi qu'on pourrait qaulifier les Posadistes qui d'après Posadas croyent que les extraterres sont la preuve de l'existence de civilisations supérieures socialistes. Posadas a écrit : "Nous allons voyager vers des planètes à des millions d'années-lumière dans une société socialiste". Ils ont au départ soutenu la révolution cubaine avant de la comdamner. Quelques posadistes ont combattu dans contre Batista. Mais par la suite leurs postures gauchistes, ils voulaient la réstitution de la base US de Guantanamo par la force et organisèrent même une manifestation en ce sens à Guantanamo. Che Guevara les critiqua fortement. Par la suite c'est eux qui annoncèrent que Fidel avait fait éxécuter Che Guevara alors que ce dernier était en train de combattre en Bolivie, ce qui amenat Fidel a lire publiquement la lettre d'adieu du Che. A cette occasion Fidel les critiqua durement. Dans leurs divagations intellectuelles les posadistes demandèrent à la Chine et à l'URSS de lancer une guerre nucléaire préventive contre les Etats-Unis qui aurait lieu simultanément avec une révolution mondiale, l'une entrainant l'autre. (12-04-2014) |
| La Star
En débarquant en novembre 1949 au port de Buenos Aires nous nous sommes trouvés dans une sorte de hangar, c'étaient les douanes, je crois, c'était grand et vide, les murs étant faites en lattes de bois où étaient collés d'énormes affiches, tous pareils, affiches desquelles nous regardait une fausse blonde platinée avec un son sourire énigmatique. |
| J'étais très étonné, je me disais que cela devait être une actrice de cinéma très appréciée dans ce pays, mais son visage ne me disait rien, mais en effet à l'âge de dix ans je ne connaissais pas grand'chose aux actrices célèbres. Au fait c'était ma première rencontre avec Evita !
J'aurais par la suite bien d'autres occasions d'être confronté aux images omniprésentes de la femme de Juan Peron le président (dictateur) d'Argentine de cette époque. Je me suis vite aperçu que son nom figurait partout, sur tous les chantiers publics son image et son nom étaient affichés là, imposant, sur-dimensionné, avec ce slogan invariable "Peron cumple, Evita dignifica". Oui elle, Evita, était absolument partout, dans la rue, dans les gares, dans les bus et les taxis côtoyant l'image de la vierge Marie, au dessus du comptoir chez l'épicier du coin, dans les bistrots et au même rang que la croix sur les murs des classes des écoles. |
| A l'usine où j'étais écolier-apprenti quelques années plus tard, nous eûmes deux jours de dispense de classe, l'usine où se trouvait mon école, était en grève car la direction avait osé déplacer le portrait de la blonde nationale, qui trônait sur une porte d'entrée aux ateliers, pour effectuer des réparations.
Plus tard nous eûmes encore beaucoup de jours de vacances imprévues à l'école, c'était la période où se succédaient les putsch militaires qui ont finalement eu raison de Peron. | Evita elle, est morte peu avant d'un cancer, les cérémonies de deuil, où elle fut promenée dans la ville dans un cercueil transparent, furent grandioses.
Puis elle a mystérieusement disparue, avec son cercueil en cristal ? Personne n'a jamais su ni pourquoi, ni comment et on ne l' plus jamais retrouvée. |
(27-11-2011)
| Polaroid L’homme qui sortait du bar de la rue Juramento à l’angle de l’avenue Cabildo portait un énorme appareil de photo. La photo c’était mon truc, c’était dans mes gènes, ça faisait déjà plusieurs années que j’étais un heureux possesseur d’un Agfa 6x6, qui m’avait été offert mon père à mon 8ème anniversaire. Mais jamais j’avais vu un tel appareil avec un soufflet comme un petit accordéon. Je suis resté pantois à regarder ce grand bonhomme un peu ventru avec cet remarquable engin pendu au cou. - Eh, jeune homme, qu’est ce que tu regardes,c’est mon appareil photo qui te surprend ? - Ben oui m’sieur, j’en ai jamais vu de comme ça. - Bien vois tu, c’est une toute nouvelle invention, avec cet appareil je prends une photo, j’attends 60 secondes et hop voilà la photo toute prête. - Non m’sieur, ça ne se peut pas, il faut d’abord développer la pellicule puis faire des tirages ! Le bonhomme secouait la tête en rigolant. - Mets toi là, je vais te prendre en photo. Je me suis mis en peu en arrière, il m’a visé et click... Puis il s'est mis à compter, lentement 1, 2, 3, 4,...59, 60. Puis il a appuyé sur un bouton, une sorte de tiroir s’est ouvert et voilà le résultat, c’était bel et bien mon portait, juste soixante secondes après le déclenchement de l’appareil. L’homme, tout fier, m’a tendu la photo en disant: - Voilà c’est pour toi... - Wouaaah, merci m’sieur ! C’était le première fois que je voyais un Polaroid. (19-11-2011) |